Mme la rapporteure, quatre associations caritatives sont actuellement concernées. Trois autres frappent à la porte ; j'aimerais savoir lesquelles.
Si chacun d'entre nous soutient l'aide aux plus démunis, l'argent public doit être compté. En effet, la présence de nombreuses associations en situation de concurrence, même dans les petites villes, constitue un frein à l'optimisation des moyens. Une politique d'évaluation me semble donc nécessaire.