Vous n’êtes pas obligée d’apporter la réponse aujourd’hui, madame la ministre, car cette question est complexe. Quelle méthodologie sera utilisée pour connaître, au bout de quatre ou trois ans – il me semble en effet qu’un amendement vise à ramener la durée de l’expérimentation à trois ans –, l’effet de ces nouvelles modalités de délivrance sur l’antibiorésistance dans notre pays ?