Même avis et même proposition à Mme Fraysse. Je comprends bien sa préoccupation, mais nous devons garantir l’évaluation des situations dans lesquelles une telle autorisation serait donnée. Nous ne pouvons pas prendre comme cela des décisions qui ont potentiellement un impact sanitaire et médical, notamment dans des situations où les patients sont confrontés à des maladies graves. Nous partageons tous votre volonté de réduire au maximum les délais dans lesquels des propositions de traitement sont faites à des patients qui n’en trouvent pas aujourd’hui, mais nous devons le faire dans un cadre sécurisé.