L'innovation est un très beau sujet, mais pourquoi avoir pris pour terme 2030 plutôt que 2025 ? Pourquoi attendre ?
Vous acceptez le principe de précaution, dites-vous, mais, dans sa conception actuelle, ne constitue-t-il pas un frein à l'innovation ?
Les entreprises françaises sont-elles bien armées pour prospérer dans la compétition mondiale ? En particulier, la distinction entre produits et services, qui prévaut actuellement, vous paraît-elle encore pertinente ?
Comment allez-vous juger les dossiers qui vous seront présentés ? Quels outils utiliser ensuite, pour accompagner les entreprises sélectionnées ?
Vous plaidez pour la création d'un centre de ressources technologiques afin de valoriser les données massives : quelle forme prendrait cette entité ? Quelles seraient ses ressources ?
Votre rapport souligne les difficultés que rencontrent les PME pour accéder aux marchés publics ; pourtant, des mesures destinées à y remédier avaient été annoncées en 2012. Quelles sont vos propositions ? Vous connaissez les initiatives de Marc Simoncini, Jacques-Antoine Granjon et Xavier Niel : est-ce dans ce sens-là qu'il faut travailler ?