Vous avez cité l’Ukraine. Je peux vous dire que tout nouvel accord d’association sera conditionné à des réformes structurelles dans ces pays, sur le plan économique mais, également, dans les domaines du droit et de la justice. Ce sont là autant de préalables incontournables comme nous l’avons dit aux pays qui frappent à la porte de l’Union européenne.
J’ajoute qu’à Vilnius, il n’y aura pas d’ouverture à de nouvelles adhésions.