Merci, monsieur le Président. Merci, monsieur le Premier ministre, pour vos paroles de soutien, qui n’ont jamais manqué, dès la première minute, dès les premières agressions que j’ai subies. Merci, monsieur le député Glavany, et merci à tous, pour cette solidarité, que vous m’avez déjà manifestée, d’ailleurs, par des messages.
Ensuite, avec cette question, quelle dégringolade !