Je comprends l’intention. Cependant, j’ai pris l’engagement, je vous l’ai déjà annoncé en commission, de maintenir les crédits liés à la réserve, de les stabiliser, de les augmenter au fur et à mesure des échéances de la loi de programmation militaire pour enrayer le déclin de ce qui était une variable d’ajustement. Je me suis engagé très solennellement, au Conseil supérieur de la réserve, sur cet objectif, et je crois avoir été entendu et approuvé.
J’appelle donc au rejet de l’amendement d’autant plus qu’il est difficile, techniquement, d’imputer des crédits du nucléaire sur la réserve sans complications épistémologiques majeures.