Monsieur l'ambassadeur, de quels moyens exacts disposez-vous pour remplir votre mission dont l'enjeu est fondamental ?
Ma seconde question est de savoir pourquoi on continue de travailler pays par pays, au lieu de réfléchir par grandes zones du monde et par grands secteurs – agricole, marin, forestier par exemple. Cela faciliterait sans doute la mobilisation des acteurs puisque les propositions des différents groupes de travail seraient alors plus parlantes pour eux.