Ma question porte sur la méthode, monsieur le commissaire général. Le ministre a indiqué que le PIA 2 n’est pas un guichet où l’on se rend pour avoir une seconde chance. Quant à moi, je suis de ceux qui pensent qu’il est toujours bon de disposer de plusieurs guichets, car il est fâcheux que le premier non soit définitif si celui qui a pris la décision s’est trompé.
Comment la BPI « Moscovici », les trente-quatre filières « Montebourg » et les sept chantiers d’avenir « Lauvergeon » s’articulent-ils ? Nous disposons là d’un ensemble d’initiatives permettant de soutenir les secteurs porteurs d’avenir dans le domaine de l’intelligence et des investissements. J’ai bien compris que vous n’étiez ni caissier général ni commissaire-priseur, mais vous êtes tout de même une sorte de chef de gare