Notre approche est celle que vous indiquez.
Je précise que dans les opérations que nous finançons, la part des PME est plus importante que celle qu’elles prennent dans la recherche privée française. Nous disposons donc déjà d’un biais en faveur de ces dernières.
S’agissant des innovations de rupture, il est clair que nous devons promouvoir des projets de toutes les tailles, lesquels peuvent d’ailleurs être complémentaires entre eux et non exclusifs. Nous ne financerons pas un projet par innovation de rupture : après le premier tri, nous serons amenés à en financer plusieurs et je souhaite vivement – d’ailleurs, nous y veillerons – que des start-up ou des entreprises de taille moyenne ou intermédiaire en présentent.