Il est évident que des formations peuvent être rattachées au développement durable, mais toutes ne sont pas dans ce cas-là. Sans doute serait-il extrêmement frustrant, lorsque nous intervenons dans les zones qui connaissent une mutation économique, de ne pas tenir compte de la réalité du tissu industriel et de l’emploi ! Nous devons adapter nos formations en fonction des potentialités du terrain.
Sur le 1,7 milliard consacré à l’industrie, une très large part relèvera de l’éco-conditionnalité. Peut-être n’est-il pas très facile de la relier avec le calcul intensif, par exemple, mais nous examinerons avec le ministère de l’environnement les différentes lignes pour lesquelles cela a un sens.
Nous ne raisonnons pas en termes de crédits de paiement. J’allais dire une horreur dans cette salle,