La déconcentration ne saurait devenir un dogme, mais elle demeure bien sûr une option toujours possible : l'expérience, à Nantes ou à Metz, montre que les agents peuvent y trouver largement leur compte. L'essentiel, c'est la concertation, et le volontariat. Je note aussi que mon administration est déjà extrêmement déconcentrée.
Nous menons une politique très volontaire de recensement des actifs dormants. Nous prévoyons de dégager 470 millions d'euros par des cessions l'an prochain.
Les régimes spéciaux seront bien concernés par la nouvelle réforme. Il n'y a pas de rapprochement supplémentaire, mais nous ne creusons pas l'écart.