Monsieur le ministre de l’économie et des finances, lorsque le Gouvernement a confirmé ce printemps sa prévision de croissance pour 2013 à 0,1 % du PIB qu e n ’avons entendu ! On nous a reproché un optimisme excessif. Nous avons fait l’objet de moqueries et de critiques plus ou moins polies. Qu’en est-il aujourd’hui ?