Sur 4 000 communes passées au nouveau rythme, deux sont revenues dessus, l’une à la demande de l’Éducation nationale, dans l’intérêt des élèves, car le dispositif présenté ne nous semblait pas offrir toutes les garanties, et la seconde, Boves, parce que le maire ne souhaitait pas être instrumentalisé dans un débat de politique nationale et voulait prendre le temps nécessaire pour améliorer le dispositif, dans la concertation, ce que je recommande à chacun.
Je vous demande d’être vigilants, car chacun de nous est comptable de cette « autosatisfaction » dont vous parlez. Croyez bien que je n’en fais aucunement preuve. Si je porte cette réforme avec détermination et avec le soutien de tout le Gouvernement, c’est uniquement parce que nous savons, comme vous il y a encore quelques mois, qu’elle est dans l’intérêt des élèves et donc du pays.
Lorsqu’un ministre de la République s’engage et vous donne sa parole, cette parole a quelque poids. Si je vous ai dit qu’instruction avait été donnée pour que ce ne soit pas le 4 novembre, il est évident que tel a été le cas. Ce ne sera donc pas le 4 novembre.