Pardonnez ma question de néophyte, mais lorsque vous compariez tout à l'heure les techniques d'écoutes téléphoniques et de géolocalisation, vous n'avez pas mentionné les questions de procédures d'autorisation dans le cadre administratif ; si elles étaient rendues identiques, c'est–à–dire, si le recours à la géolocalisation était soumis au contrôle préalable d'une commission indépendante, sans doute cela n'autoriserait–il pas un alignement des durées maximales autorisées ?