Ayez simplement, monsieur le Premier ministre, la décence et le courage d'assumer vos responsabilités. Si vous n'aviez pas dépensé sans compter entre le 6 mai et aujourd'hui, la marche serait un peu moins haute pour respecter le programme de stabilité.
Nous vous donnons rendez-vous dans quelques jours pour le collectif budgétaire et à l'automne pour le projet de loi de finances et le PLFSS, pour juger de votre capacité à être, comme nous l'avons été, au rendez-vous de la crédibilité. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Eh oui, c'est un mot qui fait mal !
Concernant la fonction publique d'État, votre politique est à la fois aveugle et brutale pour tenir un engagement de campagne totalement absurde.
Nous avions pour notre part tenu bon sur le un sur deux, en réformant l'administration et en réorganisant les services publics.