Je renvoie la Commission spéciale à l'avis de la Commission nationale consultative des droits de l'homme sur la traite et l'exploitation, notamment à ses recommandations sur les dispositions légales répressives concernant le travail sexuel. Nous sommes sur les mêmes positions et souhaitons que le travail sexuel ou la prostitution – appelez cela comme vous voudrez – ne soient pas encadrés par des dispositions spécifiques, mais qu'elles soient soumises au droit commun.