J'ai du mal à m'expliquer la collusion entre les réglementaristes, comme Maîtresse Gilda, et certaines associations proches des personnes prostituées qui se disent abolitionnistes mais refusent la pénalisation du client. Comment peuvent-ils se retrouver ensemble pour manifester leur opinion, alors que fondamentalement on est abolitionniste ou on ne l'est pas ?
Le Haut conseil à l'égalité a-t-il un rôle à jouer dans le cadre d'un partenariat avec les autres pays d'Europe ? Peut-il participer à l'évolution de leurs législations ? Quelles actions envisagez-vous pour développer une synergie avec les pays européens sur ces questions ?