Monsieur le député Éric Alauzet, le Gouvernement partage la réticence que vous exprimez au sujet de la prime à la casse et souhaite tirer les leçons d'un programme qui, en fin de compte, nous a menés à la situation dans laquelle nous nous trouvons (Exclamations sur quelques bancs du groupe UMP). La prime à la casse, cela revient à financer avec de l'argent qu'on n'a pas l'achat de véhicules qu'on ne produit pas, ou de moins en moins, sur le territoire national.