Nous sommes nombreux ici à avoir enseigné, et nous savons donc qu'il n'y a pas assez de jours de classe pour traiter tous les sujets qui le méritent et que le ministère demande d'ajouter aux programmes. À partir de ce constat, comment pourriez-vous aider les autorités académiques à bâtir un discours qui intègre à la fois la problématique des violences de genre et celle de la prostitution qui en fait partie ? On a franchi une étape en révélant dans la sphère publique le caractère inacceptable des violences familiales, on est en train de passer à la suivante en s'attaquant à la prostitution. Que pouvez-vous nous proposer pour amplifier encore le message ?