Enseignante moi-même, je vous rejoins, monsieur le président, sur le constat que les programmes sont toujours trop chargés. Alors, précisément, il faut changer de façon de voire en introduisant dans l'enseignement la problématique de l'égalité entre les femmes et les hommes, qui parcourt pratiquement toutes les disciplines. On n'a pas besoin de cours supplémentaire, on a besoin de former à l'université des enseignants qui intégreront dans leurs enseignements, dans leurs recherches, cette préoccupation fondamentale. On aura alors gagné la bataille.