Ma question s’adresse à M. le ministre des affaires étrangères. J’appartiens à l’opposition et mon groupe, l’UDI, s’oppose fermement à la politique économique, sociale et fiscale du Gouvernement. Mais quand il s’agit de politique étrangère, il n’y a plus d’opposition et il n’y a plus de majorité. Il y a simplement les intérêts de la nation.
Votre fermeté, monsieur le ministre, lors de la première phase des négociations sur l’Iran mérite donc d’être saluée.