Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, vous voudrez bien excuser le ministre de l’intérieur, qui assiste en ce moment aux obsèques d’un militaire du GIGN, décédé en exercice la semaine dernière. La circulaire du 28 novembre 2012 constituait un engagement du président François Hollande, et son adoption était indispensable pour deux raisons : d’abord parce que, faute de directives claires, la régularisation était laissée à l’appréciation des préfets, ce qui causait des inégalités territoriales très fortes, et parfois des injustices,….