Monsieur le président, monsieur le président de la commission des affaires économiques, monsieur le rapporteur général, mesdames et messieurs les rapporteurs, mesdames et messieurs les députés, je souhaiterais, le plus brièvement possible, répondre aux interventions durant cette discussion budgétaire.
Tout d’abord, je veux indiquer quelques éléments qui incitent à l’optimisme, car il y en a. Au-delà de nos débats, certes nécessaires, force est de relever des signes indéniables d’amélioration de la conjoncture macroéconomique, qui nous permettent d’espérer que notre façon d’agir est la bonne. Tous les instituts de conjoncture, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux, ont revu à la hausse leurs prévisions de croissance pour la France.