Dans le tumulte économique actuel, il est remarquable de terminer une année budgétaire avec un écart de 3 milliards d'euros : il n'y a pas de quoi en faire des gorges chaudes !
La réforme de l'assurance-vie va dans le bon sens ; toutefois, on a du mal à évaluer, à ce stade, les incidences qu'auront ces mesures sur l'activité économique. Cela demanderait à être approfondi.
Quant aux dépenses sociales, je m'étonne que l'on se heurte toujours aux mêmes problèmes d'une année sur l'autre. Pourriez-vous clarifier ce point ? Serait-ce que l'on estime nécessaire de réduire ces dépenses, mais que l'on n'y arrive point ?
Enfin, pourquoi cette réduction de 440 millions des crédits de l'écologie et des transports ?