Je crains qu'un tel amendement ne crée un réel déséquilibre entre les communes ayant déjà mené des opérations de rénovation urbaine – et qui, dans le cadre de nouvelles opérations, seraient aidées davantage encore, dans des proportions dépassant toute raison – et celles qui n'ont pas encore engagé d'opérations et qui n'en auraient même pas la chance. Un tel déséquilibre me paraît dangereux tant il remet en cause les modalités d'intervention actuelles de l'ANRU.