Il s'agit d'une question complexe, liée à l'attractivité des grandes agglomérations auprès de populations marginalisées que les statistiques oublient : les sans-droits et les sans-logis. Ils peuvent cependant rendre la situation encore plus difficile dans certains quartiers concernés par la politique de la ville. Il s'agit d'un amendement d'appel, qui vise à initier une réflexion sur ces angles morts des statistiques.