Depuis six ans, Bernard Deflesselles et moi-même produisons un rapport annuel faisant état négociations internationales relatives au changement climatique. Ses modalités d'élaboration nous conduisent également faire ce que l'on peut qualifier de « diplomatie parlementaire ».
Nous mesurons le chemin parcouru. La prise de conscience est générale, à quelques exceptions près (comme par exemple la Chambre de Commerce des États-Unis, qui remet encore en cause le fait que le réchauffement climatique soit dû à l'activité humaine). Cependant, les moyens manquent ; le Fonds vert doit être alimenté.
Les engagements pris à Copenhague en 2009 sont très loin de satisfaire aux attentes. Ces négociations sont difficiles, et nous en mesurons de plus en plus les enjeux.