Si la conférence de Paris n'aboutissait pas à un accord, ce serait un échec à double titre : d'une part pour notre pays, d'autre part pour la lutte contre le réchauffement climatique dont la prochaine avancée serait ainsi remise aux calendes grecques. Nous nous devons donc de tout faire pour que ce sommet réussisse. À cet effet, nous avons proposé au ministre, que nous avons rencontré hier, de mettre l'accent sur la diplomatie parlementaire tout au long de 2014, qui est une année de préparation et, par conséquent, une année charnière. Nous vous en ferons des points d'étape.