Des parcours ont été proposés à trois groupes d'environ 200 personnes. On tenait compte de leur rapport à l'emploi, de leur âge ou de leur niveau de formation, qu'il aurait fallu compléter pour permettre une réorientation professionnelle. On envisageait également les possibilités de reclassement. Des contacts avaient été pris avec des acteurs locaux, ainsi qu'avec les services du ministère de l'économie chargés de l'industrie.