Il y a eu sur ce dossier une cinquantaine de procédures, dans lesquelles la justice a donné raison aux plaignants. J'ai déjà rencontré des difficultés analogues dans des entreprises dont je n'ai plus le nom en tête.
J'ai conclu par ces mots l'interview au Courrier picard du 18 février 2012 : « Ce n'est que par le dialogue qu'une solution sera trouvée pour les salariés. Si je lance cet appel aujourd'hui, c'est que maintenant le temps presse. Titan ne va pas maintenir son offre indéfiniment. Il y a maintenant urgence à ce que chacun prenne ses responsabilités parce qu'il n'y a pas de meilleure solution pour l'avenir des emplois concernés. »
Je ne retire rien à cet appel qui, hélas, n'a été ni entendu ni suivi.