Le 12 septembre 2012, ils demandaient un maintien pendant cinq ans.
Au cours de cette négociation, sur les deux premiers points de blocage que sont la renonciation aux actions juridiques et le transfert progressif des équipements de travail, la direction indiquait qu'une solution serait trouvée. Nous en avons conclu qu'un accord était possible, moyennant quelques négociations concernant sa terminologie. Puis la CGT a demandé à la direction si elle s'engageait à assurer des garanties aux salariés pendant cinq ans, ce à quoi la direction a répondu qu'elle ne pouvait prendre un tel engagement. Je pense pour ma part que sans cette question, les autres points du PDV auraient pu faire l'objet d'un accord.