Dans le contexte d'une éventuelle reprise, le groupe Titan – qui, semble-t-il, a des contacts avec le ministre du Redressement productif – aurait formulé une proposition portant sur 333 salariés. Comment, sur un plan juridique, les choses peuvent-elles se passer en cas d'une reprise d'activité, sachant que ces 333 personnes ne représentent qu'une partie de celles qui sont censées être employées dans le cadre de l'activité agraire ?