Le débat ayant déjà eu lieu, je serai bref. Mais il se tiendra à nouveau dans le futur, car il vous faudra répondre à la question de la compétitivité-prix. Nul ne peut le nier. Tout le monde sait que la compétitivité est bien autre chose, et il existe une dizaine de rapports récents sur ce sujet. Nous attendons maintenant avec impatience le rapport de M. Gallois, mais nous devons nous poser très sérieusement et durablement la question du coût du travail en France.
Vous ne devriez pas fermer les portes comme vous l'avez fait, tant pour la CSG que pour la TVA car vous devrez, à un moment ou à un autre, y recourir.
Par ces amendements, nous voulions marquer l'absence de ce type de réforme dans ce budget, ce qui est une erreur majeure de notre point de vue.