Je vous remercie, monsieur le ministre, pour cette réponse. Je souhaiterais que vous acceptiez d’être mon intermédiaire auprès de votre collègue Manuel Valls pour plaider ce dossier, je vous en serais très reconnaissant. Suite à la visite du contrôleur général des lieux de privation de liberté, ce commissariat a été dans les journaux qualifié de « plus pourri de France ». Il est devenu un symbole, pour l’ensemble des habitants du district, de l’impuissance publique à régler le dossier.