C’est précisément parce que cela est possible que nous avons décidé de maintenir à hauteur de 1,08 milliard d’euros notre contribution budgétaire pour les trois ans qui viennent au Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose. C’est un engagement très fort, dont nous pouvons être fiers sur le fond ; mais nous pouvons aussi en être fiers parce qu’il est financé notamment par la taxe française sur les transactions financières.
Le fait d’être le premier pays au monde, la première majorité politique au monde qui prend de l’argent sur les marchés financiers pour l’affecter à la lutte contre le sida, c’est quelque chose dont, collectivement, nous pouvons et nous devons être fiers !