Je félicite le Président et le rapporteur pour leur franchise qui s'affranchit du langage diplomatique. En ce qui concerne la repentance qui marque fortement nos relations avec l'Algérie, je ne crois pas qu'on puisse avancer de façon ouverte sur ces sujets si nous restons accrochés à de vieilles lunes. Nous devons nous tourner vers l'avenir. Avez-vous pu constater l'émergence d'une jeune génération au sein de la nomenklatura qui serait capable d'aller au-delà de tout cela ?