On assiste chaque année à un dépassement croissant des crédits d'hébergement d'urgence. Or, les faits montrent qu'il est urgent de modifier la législation relative à l'accueil et à l'intégration des étrangers. Il serait en effet possible d'éviter une partie des frais générés. Cette augmentation des coûts concerne en outre aussi bien l'État que les collectivités territoriales.