Le sujet mérite d'être suivi par nos rapporteurs sur toute la durée de la Législature, tant les questions en suspens restent nombreuses ! Il n'y a pas d'évaluation scientifique correcte de l'ensemble des données sur l'impact environnemental de la confection d'un produit, il n'y a pas d'adhésion du public – qui se méfie de tous ces labels –, il n'y a pas de normes permettant de mesurer l'impact par filière ou par produit. Avant même d'aborder le sujet comme un moyen de publicité ou un élément de compétitivité, c'est en termes de partage citoyen qu'il faut réfléchir. J'invite les rapporteurs à continuer de travailler ensemble dans la perspective de la production d'une norme française, susceptible de devenir ensuite une norme européenne puis internationale.