Benoît Hamon, ministre délégué chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommatio :
Cet amendement ne paraît pas opportun. Il est évident que le droit d'accès s'exercera principalement via internet, mais mentionner cette seule modalité dans le texte pourrait priver de ce droit ceux qui n'ont pas la possibilité d'accéder à internet.