Je le dis sans agressivité, mais au regard des besoins des finances publiques de notre pays, ça ne peut pas durer comme cela trop longtemps.
L'amendement n° 216 traite d'une situation connue : celle du CNC. C'est le même sujet général que les amendements précédents, mais il s'agit d'un domaine dont on n'ose jamais trop parler. La manière dont cette question a été traitée il y a quelques années n'était pas glorieuse. Le président de la commission des finances a aussi connu les termes de ce débat.
Vient un moment où, tout en respectant les missions générales de ces organismes, il faut dire que les temps ont changé, que les montagnes ne montent pas jusqu'au ciel, et que les ressources affectées dont ils profitent peuvent aussi connaître quelques limites. La cause de la politique de l'eau ou la cause de la production cinématographique ne seront pas en péril du seul fait que l'on mettra un peu d'ordre dans les finances publiques.