Je veux rappeler, au nom de l'Union nationale des combattants, mais aussi, je crois, d'un grand nombre d'anciens combattants, que si M. Jean-Pierre Masseret, avec l'accord du Parlement, avait adossé les anciens combattants à la défense, c'est parce que les anciens combattants, à ses yeux, assuraient la mission de service après-vente de la défense. Or nous assistons depuis quelques années et encore cette année à une dérive inquiétante. On a finalement tendance à penser que l'ancien combattant est une victime du travail, ce qui est tout à fait inadmissible.