La loi sur le 11-Novembre vise à commémorer tous les morts pour la France. Or, dans de nombreuses communes, il n'y a plus de cérémonie, même le 11 novembre. Et lorsqu'il y en a, il y a souvent fort peu de monde. Quelle action mener pour attirer un public plus nombreux ?
S'agissant de la repentance, il faut laisser les historiens faire leur travail de manière objective. C'est ainsi que les mutineries de la Première Guerre mondiale ont fait l'objet de thèses contradictoires. Ensuite, on peut tirer les conséquences des faits.
Si le devoir de mémoire est assuré de manière satisfaisante dans les établissements scolaires – je pense notamment au concours de la résistance –, il faut néanmoins remettre en valeur l'histoire dont l'enseignement est fondamental pour réconcilier les jeunes avec la nation. Je regrette que le précédent gouvernement l'ait supprimée en terminale scientifique.