Sans doute l'affaire dont nous parlons mérite-t-elle une saisine, non seulement de la présidence de l'Assemblée, mais aussi de Mme la déontologue ; plus généralement, nous gagnerions à desserrer l'étau des lobbies, si généreusement rémunérés pour harceler les parlementaires, en ne relayant pas leurs propositions d'amendements via les groupes d'études.
Auditionner des entités professionnelles est dans le rôle des groupes d'études, pour réunir des informations nécessaires au travail parlementaire, mais l'hygiène démocratique impose d'éviter une proximité douteuse pour la morale républicaine.