Intervention de Jean-Pierre Barbier

Réunion du 20 novembre 2013 à 9h00
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Pierre Barbier :

Je comprends donc que pour vous, la ville et l'hôpital doivent être logés à la même enseigne, monsieur le rapporteur.

Vous savez que pour les génériques, le prescripteur doit porter la mention « non substituable » sur la prescription pour que le pharmacien ne procède pas à une substitution. Le biosimilaire n'étant pas un médicament générique, il est logique que la procédure qui autorise la substitution soit différente. Le prescripteur devrait apposer sur l'ordonnance la mention manuscrite « substituable » pour autoriser celle-ci.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion