Nous avons à notre disposition plusieurs notes et rapports de l'ANSM, et nous avons déjà longuement débattu des avantages et des risques des biosimilaires. La question qui se pose au législateur est celle de l'encadrement des substitutions qui commencent à se développer. C'est un sujet nouveau et délicat, sur lequel il faut avancer avec prudence. Nous ne nous départirons pas de cette prudence en votant une nouvelle fois l'article 38 tel qu'il a été voté en première lecture.