La première possibilité serait d'obliger les entreprises à mesurer le phénomène, ce que l'on ne fait pas aujourd'hui.
La deuxième possibilité serait de partir de l'ANI de 2004, qui a instauré une révision quinquennale des grilles de classification, et de faire en sorte d'y introduire cette dimension de « lutte contre les discriminations » entre emplois à prédominance féminine et emplois à prédominance masculine.
Et bien sûr, il faudrait régler le problème posé par les cabinets de consultants.