Les impôts, c’est la garantie, quels que soient les aléas de la vie, de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, se soigner, d’avoir droit à une bonne retraite en pleine santé et sans pauvreté. Sans l’impôt, rien de cela n’existerait. Ce qui compte, ce n’est donc pas « plus ou moins d’impôts ? », c’est mieux d’impôts.
En première lecture, nous avions adopté, dans l’indifférence générale, un amendement qui fait aujourd’hui l’actualité. L’exposé sommaire de cet amendement, no 371 rectifié , appelait à ce que « 2015 marque l’acte II de la réforme de la fiscalité de notre pays ».
Acte II, d’abord, parce que ceux qui prétendent que rien n’a été fait depuis dix-huit mois sont d’une absolue mauvaise foi. M. Tian s’en va, d’ailleurs, à ce moment de mon discours !