Nous verrons bien tout à l’heure.
Madame la ministre, vous réussissez à maintenir le bateau à flot, sans pour autant l’engager sur un cap plus prometteur. L’horizon d’une politique de prévention et de précaution sanitaire fondée sur la prise en compte de la santé environnementale nous semble encore hors de portée. C’est bien dommage quand on se remémore les coûts fastidieux de la réparation pour les victimes de l’amiante, pour ne citer qu’eux.
En tout état de cause, en période de crise, notre système de protection sociale doit être conforté et, en la matière, il ne saurait y avoir de première, de deuxième ou de troisième classe. Il doit y avoir égalité de droit et de traitement pour tous, et ce dans un esprit mutualiste et solidaire.
Enfin, nous nous réjouissons de l’annonce de la loi de santé publique pour le premier semestre 2014 par un courrier aux parlementaires.