Poursuivons donc. S’agissant de l’internationalisation du yuan, j’ai expliqué à nos amis chinois combien la place de Paris, parce qu’elle est technologiquement avancée, parce qu’elle est dans la zone euro et parce qu’elle est en lien avec l’Afrique, pouvait être le leader en la matière, et ils en conviennent.
Ensuite, nous avons aussi avancé sur les questions de gouvernance mondiale, et notamment sur le souhait de la Chine de pouvoir organiser un sommet du G20. Enfin, pour ce qui concerne le rééquilibrage des investissements, nous avons exploré toutes les possibilités, avec l’idée que les investissements chinois en France étaient et seraient les bienvenus, dès lors que nous y trouverions un intérêt en termes de création d’emplois et que nous préserverions nos intérêts stratégiques ainsi que notre souveraineté.